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Jordaens et l’antiquité. Commissaires de l`exposition: Joos Vander Auwera, Irene Schaudies, Justus lange.

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COD: 9789061536741 Categorie: , , ,
Peso1,50 kg
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Data di pubblicazione

Bruxelles, 2012. Cm. 29×24, pp. 316, figg. a col. n. t., cart.
Catalogo della mostra: Bruxelles, Musées Royaux des Beaux-Arts de Belgique, 2012-2013.

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Descrizione

Après le succès de l’exposition Rubens. L’atelier du génie (14.09.2007-28.01.2008), les Musées royaux des Beaux-Arts de Belgique à Bruxelles organisent en 2012-2013 une exposition de prestige sur Jordaens et l´Antiquité (12.10.2012-27.01.2013). Cette exposition est ensuite présentée en Allemagne, du 1 mars au 16 juin 2013, sur le célèbre site de la Documenta à Kassel, au Fridericianum-Museumslandschaft Hessen.
Du célèbre trio de peintres baroques flamands « Rubens-Van Dyck-Jordaens », Jacob Jordaens (Anvers 1593-1678) est celui qui fut le moins étudié. La thématique – l´Antiquité – démontre que l’image d’un peintre, d’une simplicité bourgeoise s’adressant à un public peu au fait de l’humanisme, ne correspond pas à la réalité. L’exposition montre une toute autre facette de Jordaens. L’accent est mis sur l’intelligence stratégique de Jordaens en matière d’image et de marché, sur un terrain thématique où il est le plus souvent considéré comme un disciple servile, sinon vulgaire, de Rubens. Un disciple se sentant à vrai dire bien plus à l’aise dans le genre plus populaire du « Roi boit » et des « Jeunes piaillent comme chantent les vieux ». Plus de 80 peintures et dessins, tapisseries et sculptures, provenant de musées célèbres et de collections privées peu connues, de l’Espagne (Prado) au Danemark (Statens Museum for Kunst), de la Grande-Bretagne (Musée de Glasgow) à l’Autriche (Albertina) sont complétés par les chefs-d’oeuvre de Jordaens conservés à Bruxelles et Kassel. L’exposition fait découvrir non seulement un peintre inconnu du grand public, mais aussi un témoin, d’une qualité insoupçonnée, du trésor littéraire antique allant du « Satyre et le paysan » à « Prométhée enchaîné ». Ce n’est donc pas un hasard si après la mort de Rubens, Jordaens fut considéré comme le peintre majeur des Pays-Bas espagnols.

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